NOS ESCLAVES SEXUELLES

Je suis l'heureux propriétaire d'une ravissante jeune femme qui fait tout ce que je veux, sans exception. Cette fille, prénommée Adeline, est mon esclave sexuelle. Elle est bisexuelle et a 23 ans. Moi, son maître, j'en ai le double. Je l'héberge, je la nourris et je l'habille gratuitement. En échange, elle m'obéit toujours et fait tout pour me plaire. C'est une masochiste qui aime son état de soumission.

Adeline a de courts cheveux blonds et les yeux bleus. Physiquement, c'est une fille mince de grandeur moyenne. Elle a des seins plutôt petits qui répondent bien aux diverses caresses que je leur procure. Elle a pratiquement toujours les mamelons érigés et ne porte jamais de soutien-gorge. Elle n'est d'ailleurs que rarement habillée.

À la maison, Adeline n'a pas le droit de porter des vêtements. Elle doit toujours être complètement nue, prête à me recevoir. Il m'arrive de la baiser trois fois dans la journée, peu importe l'heure et le lieu. Encore hier, je l'ai pénétrée sur la table de la salle à manger. Je lui avais au préalable longuement dégusté la chatte en guise de dessert. Elle s'était recouvert le minou épilé de crème fouettée. Elle a bien dû jouir deux ou trois fois sous ma langue. Quand je l'ai baisée, elle est venue encore une fois. Sa chatte est toujours bien rasée. J'aime ses grosses lèvres vaginales et je ne tolère aucun poil dessus, ni sur son pubis.

Quand je prend ma douche, Adeline m'assiste. C'est elle qui me lave, me savonnant surtout très bien le pénis qu'elle suce ensuite avec vigueur. Elle doit me sucer jusqu'à ce que je décharge dans sa bouche ou sur son visage. Je sais qu'elle aime me sucer la queue. Elle adore aussi avaler mon sperme. Me faire une bonne fellation n'est donc pas une corvée pour elle. C'est une petite nympho qui a une très forte libido. C'est pourquoi je lui accorde souvent le droit d'assouvir ses instincts de femelle en chaleur. Je ne veux pas en faire une frustrée. Adeline a donc la permission de me faire des avances sexuelles, si l'envie lui prend de se faire pilonner dans l'un de ses deux trous. Quand elle veut que je réponde à ses attentes, elle sait qu'elle doit d'abord danser voluptueusement devant moi, me montrant tous ses appâts en les caressant. J'aime quand elle se cajole les seins et se pince les mamelons, et qu'elle se masse le vagin tout en se trémoussant. Elle doit ensuite me sucer voracement la queue et me lécher les testicules. Après, il faut qu'elle m'implore de la manière suivante:

"Je t'en prie, Maître, baise-moi! J'ai besoin de recevoir ton beau pénis en moi. Ma chatte et mon anus t'appartiennent. Je t'en prie, comble-moi de plaisir. Toi seul est capable de vraiment me satisfaire. Pénètre-moi! Mets ton gros pénis dans mes trous affamés. Fais-moi jouir! Mon clitoris a tellement besoin de toi."

Alors là seulement je daigne enfin répondre à ses besoins de femme.

Quand nous sortons tous les deux en ville, Adeline est habituellement vêtue d'une étroite robe bleue qui lui descend jusqu'à mi-cuisses. Elle n'a pas le droit de porter de petite culotte. Je veux être capable de mettre mon doigt dans sa fente humide n'importe quand et n'importe où. Je veux aussi qu'elle se masturbe frénétiquement si je lui dis de le faire. Par exemple, chaque fois que nous prenons un taxi, c'est ce qui arrive. Pendant que la voiture nous emmène à destination, à mon commandement, Adeline relève sa jupe, écarte les jambes, et s'astique furieusement le clito jusqu'à ce qu'elle ait un orgasme. Elle se mord ainsi souvent les lèvres pour s'empêcher de crier de plaisir.

Incidemment, nous sommes sortis tous les deux l'autre soir pour nous rendre chez l'une de mes amies. J'étais invité à souper et mon amie, une belle brunette de 32 ans prénommée Clara, tenait à ce que Adeline m'accompagne. Notre hôtesse est bisexuelle et elle possède également sa propre petite esclave sexuelle. Celle-ci se nomme Josianne et a 19 ans. Elle a de longs cheveux châtains qui lui descendent jusqu'aux fesses. Je l'ai vue plusieurs fois entièrement nue, en train de satisfaire sa maîtresse avec sa langue. C'est une jeune fille au corps superbe. Elle a de beaux gros seins et est exclusivement lesbienne.

Mon amie Clara avait eu une excellente idée: pendant que nous dînerions tranquillement aux chandelles, en tête-à-tête, nos deux esclaves sexuelles, en plus de nous servir complètement nues, nous divertiraient en faisant l'amour devant nous. La soirée de Clara fut une réussite à tous points de vue. Bonne table, bon vin et bon spectacle. Adeline et Josianne, qui ne s'étaient jamais rencontrées, ont été attirées l'une vers l'autre dès les premiers instants. Après nous avoir servis, tandis que nous mangions, elles ont d'abord dansé ensemble un "slow" sensuel, sur un fond musical de piano. Elles se sont embrassées avec beaucoup de passion. Elles en ont profité pour explorer réciproquement leur corps avec leurs mains, se caressant les seins et les fesses. Quand la musique s'est arrêtée, elles se sont étendues sur le tapis de la salle à manger où, en position 69, elles se sont dégusté mutuellement la chatte. Notre hôtesse s'est approchée de moi et, tout en regardant les deux filles se lécher la moule, elle m'a sucé le pénis. De mon côté, je lui ai dénudé les seins que je me suis mis à cajoler doucement. Nous pouvions très bien entendre Josianne et Adeline qui gémissaient de plaisir tout en se léchant goulûment entre les cuisses. Clara s'est dévêtue totalement et m'a offert son trou d'amour. C'est une très belle femme aux formes idéales. Je lui ai enfoncé ma queue jusqu'au fond du vagin. À son tour, elle a laissé entendre de doux gémissements de plaisir. Tout en lui ramonant bien la chatte, je voyais nos deux jeunes esclaves sexuelles qui se bouffaient de plus belle. Elles ont fini par crier de jouissance quand elles sont venues. Clara a hurlé de plaisir aussi quand elle a eu un orgasme et je lui ai déchargé tout mon sperme sur le visage. C'est Adeline qui est venu lui nettoyer la figure avec sa langue. Elle ne s'est pas fait prier. La petite aime tellement le goût de mon sperme, qu'elle le lècherait même sur le tapis. C'est d'ailleurs ce qu'elle a déjà fait, un jour que j'avais éjaculé sur le plancher.

J'ai eu ensuite droit à un bon digestif. Pendant que je le sirotais, assis confortablement dans un fauteuil, Clara m'a sucé une nouvelle fois, à quatre pattes devant moi. Son esclave s'est installée dans la même position derrière elle, pour lui lécher le trou du cul, et Adeline s'est mise en queue de train pour lui prodiguer les mêmes caresses linguales. La jeune Josianne devait être comblée: elle léchait avec ravissement l'anus de sa maîtresse, acte qu'elle adore toujours poser, tandis qu'elle se faisait elle-même lécher le trou de balle. Clara m'avait dit que Josianne est une obsédée du trou du cul. Elle raffole autant en lécher un que de se faire manger le sien.

J'aimerais bien sauter la belle Josianne. Elle est tellement bandante. Mais comme elle uniquement lesbienne, je ne le fais pas pour être politiquement correct avec elle. Je sais pourtant que si je lui demandais, Clara me laisserait baiser avec joie sa jeune esclave. Elle m'a dit que Josianne aime bien sentir un gros gode dans son vagin ou son rectum. Elle croit qu'un vrai bon pénis arriverait sans doute aussi à la faire jouir.

Il faudrait toutefois procéder par étapes avec Josianne. J'ai suggéré de d'abord lui faire goûter aux délices d'une langue masculine sur sa chatte. Clara m'a dit que l'idée est excellente et que nous devrions la mettre en pratique dès la semaine prochaine. Pour faciliter les choses, Clara a proposé de joindre sa langue à la mienne sur la chatte de son esclave. Adeline, elle, pendant ce temps, lui léchera l'anus. Avec trois langues qui s'occuperont ainsi en même temps de ses trous intimes, je suis certain que la belle petite Josianne va tellement jouir, qu'elle ne sera même plus consciente de qui la fait ainsi jouir.

Régis